Hommage à Olympe Bhêly-Quenum
le 4 mai 2020Hommage Euphrasie Calmont à Olympe Bhêly-Quenum, 60 ans de Un piège sans fin.
https://motsditsmotslus.com/event/mots-dits-mots-lus-a-la-bibliotheque-de-la-jeunesse-de-hevie/
Juillet 2022
Atelier d’écriture créative avec Euphrasie Calmont à la Médiathèque du Lamentin, Martinique.
Présentation de La grand-mère, cette femme éternelle.
Cela se passe avec Carrefour des Cultures Africaines
le 11 Mars 2022
27 rue Jules Brunard
69007 Lyon
11 MARS 2022 de 16H00_Visio Lyon
le 11 Mars 2022 à 16h 30, heure de Paris
27 rue Jules BRUNARD
69007 LYON
C’est avec Carrefour des Cultures Africaines
https://carrefourculturesafricaines.org/2022/02/23/grand-mere-cette-femme-eternelle/
Concours de dessins entre 125 jeunes d’Orléans et 80 jeunes de Parakou,
dans le cadre du partenariat Orléans-Parakou, 6è édition, 2021.
La semaine du partenariat va du 19 au 28 novembre 2021.
Voyez comme nos jeunes ont du talent!
La ville d’Orléans me nomme marraine.
Gratitude!
La République du Centre parle de nos jeunes.
La République du … (Lire la suite)
Partenariat Orléans-Parakou 6è édition, 2021
Semaine du partenariat: du 19 au 28 novembre 2021
Concours de dessins entre 125 jeunes d’Orléans et 80 jeunes de Parakou.
Voyez comme nos jeunes ont du talent!
La ville d’Orléans me nomme marraine de l’événement.
Gratitude!
Concours de dessins 2021 / Jeunes d’Orléans et de Parakou
Hommage Euphrasie Calmont à Olympe Bhêly-Quenum, 60 ans de Un piège sans fin.
Paris, en ce vendredi 13 novembre 2015,
Je pleure, Je « te » pleure, Je « nous » pleure.
Je reçois en plein visage l’immondice de nous-mêmes, humains.…
Ô Paris, J’ai mal en mon cœur, il pleure et pleure de l’eau et du sang.
Ô Ô Paris, J’ai mal, J’ai mal pour toi, J’ai … (Lire la suite)
P aris, je t’aime ; ils t’ensanglantent ; plus consciente, plus vigoureuse tu restes.
A cette vigueur culturelle, étincelante que tu distilles en moi, en nous,
R ien n’altèrera les lumières éclatantes qui en font les enluminures.…
I ci ou ailleurs dans le monde, tu es inscrite en moi, en nous.
S eule la disparition … (Lire la suite)
Le vent comme un traître râle, s’agite, s’élance,
S’échappe à travers les faubourgs,
Embrasse avec ruse les bourgs
Et semble tout briser sur son passage.
Le long des faubourgs, la bruyère garnie de ses clochettes
Touffues d’un violet mât, en inflorescence,
Pavane gracieusement tandis que, même les conifères
Frissonnent tout doucement et murmurent : « Quel vent ! ».
Des hauts arbres, … (Lire la suite)
Aimé CESAIRE
Aimé CESAIRE a disparu.
LCI, RFI, RFO… viennent de l’annoncer.
Et vlan… Mon cœur s’est assombri.
Oh ! Il est mort !
Il a cessé de souffrir.
Un vide dans ma tête s’abat.
Au secours ! Au secours !
CESAIRE, CESAIRE, c’est CESAIRE !
C’est fini.
Puis, me reviennent ses petites phrases :
« Dis-leur, dis-leur bien que tu n’es pas d’ici,
Que tu es de l’Afrique … (Lire la suite)
Non, je n’arrive pas à croire à tout ce bonheur.
Alors, je me mets en retrait pour l’observer et mon cœur s’emplit de joie.
Lorsque je me ressaisis, des larmes perlent.
Yahvé alors me prend par la main pour me parler de grâce.
Alléluia, Alléluia, Alléluia, j’ai chanté alléluia !
Le vent comme un traître râle, s’agite, s’élance,
S’échappe à travers les faubourgs,